Soit toi-même ! Pour être libre avec des pensées, tes pensées ! Réflexions pourrait libérer ton esprit, ton âme, et toi-même !
dimanche 11 octobre 2009
Amis
samedi 10 octobre 2009
Le chant des oiseaux
est une déformation de la vérité ».
jeudi 8 octobre 2009
S’éveiller
L'année dernière, j'ai entendu cette histoire sur une chaîne de télévision espagnole : un monsieur frappe à la porte de son fils.
« Jaime », dit-il, « réveille-toi ! »
« Je ne veux pas me lever, Papa », répond Jaime.
Alors le père crie : « Lève-toi, tu dois aller à l'école".
A quoi Jaime réplique : « Je ne veux pas aller à l'école. »
« Pourquoi ? » demande le père.
« Pour trois raisons, » dit Jaime.
« Un : l'école m'ennuie; deux : les élèves me tourmentent; trois : je déteste l'école. »
« Eh bien », dit le père, « je vais, moi, te donner trois raisons pour lesquelles tu dois aller à l'école.
Un : c'est ton devoir d'y aller; deux : tu as quarante-cinq ans; trois : tu es le maître d'école. »
lundi 5 octobre 2009
Quand la conscience s’éveille
Un clochard londonien cherche un endroit où passer la nuit.
Il a dû se contenter d'un croûton de pain en guise de repas.
Il arrive sur une des berges de la Tamise.
Comme il tombe un léger grésil, il s'enveloppe soigneusement dans son manteau loqueteux.
Au moment où il est sur le point de s'endormir, une Rolls Royce s'arrête. Une belle jeune femme en descend et lui dit :
Mon pauvre homme, allez-vous vraiment passer la nuit sur la berge ?
Oui, répond le clochard.
Je ne puis supporter cela. Je vais vous emmener chez moi, où vous passerez la nuit confortablement après avoir pris un bon dîner.
La jeune femme presse le clochard de monter dans la voiture. Ils sortent de Londres et arrivent devant une immense résidence entourée de jardins. Un majordome leur ouvre la porte et la jeune femme lui dit : James, je compte sur vous pour installer cet homme dans le quartier des domestiques. Veillez à ce qu'il soit bien traité. Ce que fait James.
Quelque temps après, la jeune femme, déshabillée et prête à se mettre au lit, se souvient soudain de son invité.
Elle enfile une robe de chambre et emprunte un corridor pour se rendre au quartier des domestiques.
Voyant passer un rai de lumière sous la porte de la chambre dans laquelle le clochard a été installé, elle frappe, entre et trouve l'homme éveillé.
Que se passe-t-il brave homme, n'avez-vous pas reçu un bon repas ?
Je n'ai jamais fait de meilleur repas de toute ma vie madame.
Avez-vous assez chaud ?
Oui, le lit est chaud et confortable.
Peut-être avez-vous besoin de compagnie.
Pourquoi ne me feriez vous pas une petite place ?
Sur ces mots, elle s'approche de lui.
Alors l'homme recule pour lui faire une place et tombe dans la Tamise.
jeudi 1 octobre 2009
Être
mardi 28 juillet 2009
Apporte-moi la flûte et chante !
pour ton domicile plutôt que le palais ?
et de laisser aller le passé?
Gibran figure en bonne place parmi les poètes et peintres issus du Moyen-Orient, grâce notamment à son recueil :
Le Prophète. Né au Liban (1883 à Bcharré - 1931 à New York), il a ensuite séjourné en Europe et surtout aux États-Unis où il a passé la majeure partie de sa vie.
Chrétien catholique de rite maronite, son Église jugera hérétique son troisième livre, Esprits rebelles (l'appel du prophète), qui sera brûlé en place publique par le pouvoir ottoman en 1908.
On l'a souvent comparé à William Blake.
dimanche 31 mai 2009
Ne change pas !
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Ne change pas !
J'ai été névrosé pendant plusieurs années.
J'étais plein d'angoisses, déprimé et égoïste.
Et tout le monde me répétait de changer.
J'en ai voulu à tout le monde,
puis je suis tombé d'accord avec tout le monde,
et j'ai pris la résolution de changer,
mais je n'y parvenais pas, quels que fussent mes efforts.
Ce qui me blessa le plus fut le fait que mon meilleur ami, lui aussi, insistait pour que je change.
Et je me sentis démuni et pris au piège.
Mais un jour il me dit :
« Ne change pas. Je t'aime comme tu es. »
Ces paroles résonnèrent comme une musique à mes oreilles :
« Ne change pas... Ne change pas... Ne change pas... Je t'aime... ».
Je me détendis. Je repris vie. Puis, ô merveille, je changeai !
Comme un chant d'oiseau.
Anthony de Mello